Fran cés
 

 

Mémoires de la Rochelle
La Rochelle-Le Marais Potevin-Pampelune

 

 

Texto & photos: Gema & Patricia

Vendredi 4 mai on a pris le car à 15:30 piles de l’Hôtel Troi Rois” vers La Rochelle. Le voyage s’est très bien déroulé, pas de problèmes, on a fait deux arrêts pour se dégourdir les jambes et vers 10:30 on est arrivé à la Rochelle... après avoir fait un petit tour, on a vu “La Rochelle la nuit”, un peu froid pour Mila, qui demandait aux gens qui passaient le chemin vers l’hôtel mais... pas de chance. Finalement on l’a trouvé, un joli petit hôtel dans le centre ville, à la portée de la main.

Après le check-in, on a mangé un peu et on s’est couché, car le lendemain on avait prévu la première des visites. Rendez-vous à neuf heures. Un bon petit déjeuner aide à bien tenir le coup. Après une heure en car, on est arrivé sur l’embarcadère de la “Venise Verte”. C’est ainsi qu’on appelle ce coin de la France, non seulement à cause de ses canaux, mais aussi à cause des lentilles vertes qui couvrent complètement l’eau le printemps. Mais tout pourrait devenir un peu plus clair si on faisait une petite introduction.

Dans le Sud-Ouest de la France, à 500 km de Paris et de Pampelune à peu près, on trouve une partie de la France connue par ses marais. Ce sont les romains qui ont commencé à dessécher les marais. Henry IV a appelé les Hollandais pour faire 24 km de digues. Napoléon I a drainé les eaux.

 

Plus tard Louis Philippe a mis des écluses pour réguler l’eau et c’est à partir du XIX siècle que l’on trouve l’aspect actuel des marais avec les portes à flot qui aident à évacuer l’eau, fermées quand la marée est basse et ouvertes quand la marée est haute pour laisser couler l’eau des pluies. Maintenant il y a 15000 hectares de marais mouil-lés et 40000 hectares de marais desséchés. En 1960 les nouvelles techniques hydrauliques employées dans l’agriculture ont été la fin des marais. La terre est couverte d’eau six mois par an, d’où l’on trouve des pâturages et des cultures rapides, telle que celle des “mojettes”, produit de la terre connu chez nous par le nom de “pochas”.

Après ce commentaire, dire qu’on a fait un tour d’une heure et demie à peu près dans de petits bateaux qui tenaient 8 passagers et le batelier, plus beau dans certains cas que dans díautres, mais tous cinq connaissaient bien les alentours et faisaient de belles explications (en attendant peut-être un pourboire, comme il a suggéré!): ils parlaient des “frên-tetards, peupliers et aulnes, arbres typiques des marais qui servent au chauffage, pour faire des sabots, des allumettes ou bien des meubles pour les maisons. C’est une très belle promenade en bateau dans laquelle on voit les différents types de voies d’eau (canaux, conches, fossés et...), plus grandes- plus petites.

À un certain moment on s’est tous arrêtés, on a remué vigoureusement le fond du conche et quand de petites boules sont montées, lop ! avec le briquet ils on mis feu à l’eau! C’était le méthane qui brûlait! Curieux, quand même!

 

Après avoir fait le tour des quatre voies d’eau on est rentré, la promenade arrivait à la fin, et on sentait des sentiments opposés : d’un côté on avait envie de finir -il faisait tellement froid qu’on ne sentait plus les mains, mais de l’autre on aurait voulu continuer jusqu’à toujours, car c’était si beau... et le batelier breton racontait des histoires amusantes et blaguait sur les animaux typiques du marais, tel que le ragondin... mammifère rongeur à la peau douce.
Après avoir débarqué, on a goûté le vin du pays et les “mojettes en sucre” hmmm délicieux ! Il y avait bien sûr un petit magasin où l’on vendait les spécialités de la région: mojettes en sucre, liqueurs, carte postales, des nounours et díautres animaux en peluche, bien des choses en bois avec le nom gravé, des tasses avec son nom pour prendre le petit déjeuner... et beaucoup díautres choses que nous avons oubliées. Cependant, une des choses le plus codicieuses dans ce petit magasin était sa belle et réchauffante cheminée qui se trouvait au fond!.

Et en faisant des petits tours par ici, et par là, l’heure du déjeuner est arrivée! On a pris le déjeuner typique du pays, bien sûr.
On était bien sous couvert! On est espagnols, et dans chaque coin du monde il y a des spécialités et des habitudes que l’on doit expliquer, mais il n’y a pas toujours quelqu’un de saveur qui puisse expliquer les nouveautés. On s’est assis donc à table, chacun avait deux verres, l’un vide et l’autre avec un doigt de liquide rouge et très épais, mais doux comme le miel. On a bu et tout d’un coup plusieurs serveuses sont apparues avec des bouteilles de vin blanc qu’il fallait ajouter au “hydromiel”. Le goût devenait tout à fait différent ! On venait de découvrir le “kir” pour la première fois dans notre vie!

À manger il y avait un plat avec du jambon, un prefou un farci et de la salade. Sur des tartines on avait mis de l’ail, ça sentait énormément, mais il fallait en manger pour ne pase sentir différent des autres. Les mojettes avec de la poivre et des légumes étaient accompagnées par du mouton, et puisqu’en France on tue les animaux quand ils sont plus âgés qu’en Espagne, le temps de cuisson est plus long et le goût de la viande plus fort. Cependant, les pommes de terre étaient délicieuses ! Il y avait aussi des tartines avec du fromage de chèvre couvert d’orégane et díautres épices sur un lit de salade.

Comme dessert, crème brûlée avec de l’angélique, l’angélique étant une plante qui pousse dans la région et dont on s’en sert pour faire plusieurs choses: La tige est confitée, 10 grammes par jour sont recommandés pour élever le morale si on a le cafard, il faut la prendre pendant 15 jours ; avec les feuilles on fait de la liqueur -eau de vie- et cela est un bon digestive quand on a trop mangé; avec la racine on fait la chartreuse.

 

La plante est semée en septembre et récoltée en juillet ; il y a d’énormes plantations et une plante peut mesurer jusqu’à 2 mètres. Attention, tout le monde, on peut aussi trouver cette plante ici en Navarre, et on m’a dit que celle des terres sèches est meilleure que celle des terres humides. L’hiver prochain on a décidé de confiter le chardon. Lui aussi peut avoir des propriétés thérapeutiques, n’est-ce pas ?

Après le repas, on est allé voir “La Maison des Marais Mouillés”; intéressant, mais un peu ennuyeux à écouter avec l’estomac plein! Le plus intéressant était la distribution des éléments pour empêcher que les objets se mouillent avec la crue.
Le monsieur nous a parlé aussi de la pêche des civelles, ce petit verre que l’on mange à Noël si on a les sous!, On peut encore trouver des anguilles et des civelles dans les marais, mais pas dans la même quantité qu’on les trouvait auparavant. Auparavant il y en avait une quantité telle qu’on les donnait à manger aux cochons! Il y a plusieurs façons de chasser les anguilles et les civelles mais seulement une ou deux sont légales; et ce n’est pas le moment de devenir des braconniers!. En bas on avait une exhibition de photos du mara- is dans les quatre saisons, et c’est pour cela qu’en entrant on entendait Vivaldi. On a aussi vu sur le vidéo comment on faisait auparavant les bateaux, les mesures en pieds, mais aujourd’hui le plastique et le verre ont pris place du bois.

À la sortie on avait bien un magasin avec plein de choses à acheter: voir les typiques cartes postales des canaux, des tiges díangélique, de la liqueur, des bijoux, etc.

Le soir on a profité d’une promenade dans la ville, qu’on a repris le matin avec le guide, Agnès.
Tout au long de son histoire, la ville, a été ravagé par les guerres des religions, et reconstruite plus tard. Elle était autour d’un château qui avait le port devant elle, mais les multiples reformes dans la ville et la destruction du château on poussé la ville à des mètres dans l’eau. Maintenant le port se trouve à une centaine de mètres de son ancien endroit.

 

La grosse horloge était un pont sur la rivière, maintenant c´ est la porte d’entrée à la ville. La ville avait aussi des remparts qui l’entouraient complètement, sauf le port, d’où les envahisseurs attaquaient et prenaient la Ville. On a construit La Tour Rouge pour amarrer des bateaux en sorte de rempart dans l’eau. Dans un des plus graves sièges que la ville a subis, on a passé de 21000 à 5000 personnes, après 14 mois de siège où on a même eu du cannibalisme. La ville a été la capitale du protestantisme c’est pour cela que toutes les églises de la ville ont été détruites et les prêtres tués. Seulement deux tours de ces églises ont été conservées, l’une est dans l’église du Saint Sauveur, patron des marins, qui a la cloche la plus ancienne du XV siècle. Maintenant il n’y a que 2% des protestants dans la ville.

Il y a trois tours qui sont restéa des remparts de la ville. La tour de Saint Nicolas, patron des enfants et des pêcheurs, mit sur des pivotes. On a fait la moitié de la tour et comme elle s’inclinait on l’a laissé et une fois qu’elle s’est installée sur le sol, on a fini de la construire. Plus tard, on a dû l’unir à la terre de peur qu’elle tombe. Dans les arcades de la rue du Palais et du Chaudrier on a vu que la colonne du coin était assez tordue, mais pas le reste du bâtiment, et après avoir demandé à Agnès elle nous a expliqué que puisque La Rochelle avait été construite sur des roches calcaires, et à cause de la mer, la ville est construite sur un “fromage gruyère”, et cet ainsi que quand on commençait à bâtir quelque chose, la terre bougeait, alors is corrigeaient le reste et le bâtiment se levait tout droit vers le ciel même si ses pieds étaient tordus. On est passé par La Grosse Horloge, rue par-dessous laquelle passaient les chariots, ancienne entrée à la ville.

 

La Petite Tour de la Chaîne, construite pour que les bateaux n’échappent pas aux taxes de bâtissag, argent que tous les bateaux de- vaient payer la première fois qu’ils rentraient dans le port. Et La tour de la linterne ou des Quatre Sargeants, tour gotique du XV siècle, qui se trouve parmi les plus anciennes linternes de la France.
Deux autres arrêts dans l’autoroute et... rencontre avec la pluie après avoir passé la frontière. Dommage ! Le week-end finissait et il fallait penser au lendemain... ou au prochain tour de l’École de Langues de Pampelune.

À la prochaine!

 

 

 

Ita liano
 

Siena, Chiante e Il Palio
Una buona combinazione per quest'estate

 

Texto: Lourdes, Viriginia, Esther, Rosa y Arantza

Un attraente e interessante viaggio in Italia quest’estate sarebbe andare in Toscana, una volta lí visitare Firenze, Pisa, Lucca, Siena, S. Gimignano....

Il Chianti

E’ un territorio collinare nel centro della Toscana tra le città di Siena Firenze e Arezzo prevalentemente coltivato a vigneto, ci sono numerose aziende agricole che producono il chianti classico (D.O.C.), vino di fama mondiale. Su queste colline é un susseguirsi di castelli ed aziende agrituristiche . Il castello di Brolio é forse il punto di riferimento più conosciuto per ogni itinerario turistico.
Altri prodotti della regione sono il formaggio pecorino il tartufo bianco e l’olio d’oliva.

Siena

E’ una delle città piu belle d’Italia situata nel centro della Toscana, tra le colline del Chianti e la Maremma.
Siena ha sempre suscitato profondo interesse verso i turisti, per la bellezza dei suoi monumenti e per la ricchezza delle opere díarte che è possibile ammirare nei musei senesi. Grandi artisti sono nati a Siena e tra questi si può ricordare Duccio di Boninsegna e Nicola Pisano che hanno lavorato al più grande capolavoro artistico della città, il Duomo.

 

 

Il Palio (2 luglio e 16 agosto)

E’ una corsa di cavalli,che si svolgeva già nel 1100, ognuno dei quali rappresenta un quartiere (Contrada) di Siena.
Sono quattro giorni per una festa da non dimenticare, bellissima per i suoi colori, drappelloni, bandiere, pali, intensissima di emozioni, i Senesi non vogliono perdere nessuno degli appuntamenti cosi ricchi di significato.

Fasi del Pali: LA TRATTA: E’l’operazione con cui vengono abbinati i cavalli alle dieci contrade che partecipano al Palio.
LE PROVE, sono sei hanno luogo ogni mattina alle 9 e ogni pomeriggio alle 19.30, sono importanti per verificare le condizioni sia del cavallo che del fantino.

IL GIORNO DEL PALIO: Alle 8 la messa del Fantino poi si corre l’ultima prova detta “provaccia”. Alle 10.30 si procede alla segnatura dei Fantini dopo di cui no potranno essere più sostituiti. Alle 15 la benedizione dei cavalli dopo le comparse delle contrade e i figuranti del comune attraversano il centro storico per arrivare a Piazza del Campo.

LA CORSA: Il corteo storico entra nella piazza alle 17 h, ogni fantino riceve un nerbo di bue con il quale potranno incitare il cavallo e ostacolare gli avversari durante la corsa.

Finalmente dopo qualche preparativo sono solo circa 3 minuti per la corsa,.... e I festeggiamenti iniziano subito i contradaioli ricevono il Palio e con quello si recano in Provenzano (Palio di Luglio) o al Duomo (Palio di Agosto) per cantare IL TE DEUM di ringraziamento.

 

 

Da questo momento in poi ogni occasione sarà buona per ricordare alla città la vittoria conquistata sul Campo fino all’autunno, nel rione (quartiere) vittorioso addobbato a festa si svolgerà la cena della vittoria, in cui al posto d’onore sarà il cavallo vittorioso.

 

NUMERI UTILI

SIENA HOTELS PROMOTION

  • Prenotazione alberghiere
    Piazza S. Domenico
    Tel: 0577/ 288084

FERROVIA (Tren)

  • Piazza Rosselli
    Nº Verde 147 888088

 

CORSI D’ITALIANO A SIENA

SCUOLA LEONARDO DA VINCI

AGROTURISMO

SIENA

  • LA SELVA:
    TEL 0577 / 318559
    FAX 0577 / 318656
  • LA GROTTA DI MONTECCHINO:
    TEL: 0577/ 394250
    FAX: 0577/ 394526

SAN GIMIGNANO

  • Azienda la Mormoraia:
    TEL: 0577/ 940096
    FAX: 0577 / 943207
  • Azienda La Torre:
    TEL 0577 / 941242
  • Azienda La Vigna:
    TEL: 0577 / 950045
  • Azienda Le Tre Stelle
    TEL: 0577 / 944406

 

 

 

Ára be
 
Disputa por señas
de Ibn Asim de Granada (1354-1426)
Un cuento hispanoárabe
 

Texto: Dpto. de Árabe

Un rey musulmán, al saber que el emperador de Bizancio quería invadir su reino, decidió enviarle un mensajero para que solicitara la paz. Consideró enviar a distintos dignatarios de su corte, pero convencido por uno de sus consejeros, al final determinó enviar como embajador suyo a un hombre poco inteligente, pero de muy buena estrella.

El emperador cristiano, al enterarse de que venía hacia Bizancio un embajador dijo a sus dignatarios:
“Este hombre será sin duda el más ilustre de todos los musulmanes. Cuando llegue, antes de aposentarlo, le haré varias preguntas si me contesta sabiamente lo aposentaré y aceptaré sus peticiones; pero si no me comprende lo expulsaré sin hacerle el menor caso”.

Cuando llegó el embajador musulmán, fue llevado ante el emperador y éste, sin decir una sola palabra señaló con un dedo hacia el cielo; el musulmán señaló hacia el cielo y hacia la tierra.

Entonces el emperador cristiano señaló con un dedo hacia la cara del embajador musulman y éste señaló con dos dedos hacia la cara del emperador. Por último el cristiano le mostró una aceituna y el embajador le enseñó un huevo de gallina. El emperador se sintió satisfecho y solucionó las peticiones del musulmán tras colmarle de honores.

Posteriormente el emperador dice a sus dignatarios:

 

“¡Qué hombre tan inteligente y sutil!” Yo señalé al cielo significando «Alah es uno en los cielos”; y el me contestó “Pero Él está en los cielos y en la tierra”. Después le señalé con un dedo diciéndole: “Todos los hombres tienen un origen único”; y él me contestó: “Su origen es doble, descienden de Adán y Eva”. A continuación le mostré una aceituna diciéndole: “Contempla la admirable naturaleza de esto”; y el me tendió un huevo como diciendo: “Esto es aún más admirable porque de ello sale un animal”. Y por eso accedí a su petición».

Cuando el embajador musulmán, oscuro pero afortunado, volvió a su reino refirió así su entrevista con el emperador:
«¡Jamás vi un hombre más tonto que aquel cristiano!» Nada más llegar, para impresionarme, me dijo: «Con un solo dedo te levanto al cielo así», y yo le contesté: «Pues yo te levanto hasta el cielo así, y te tiro contra el suelo así». Entonces me dijo: «Te sacaré un ojo con este dedo, asi», y yo, sin asustarme le respondí: «Pues yó soy capaz de sacarte los dos ojos, así».

Tras esto me dijo «Sólo podría darte esta aceituna, que es lo único que me sobró de mi comida». Yo le contesté: «Pobrecillo, no te preocupes, estoy mejor que tú, pues aún puedo darte este huevo que me sobró de mi comida. Se asustó de mí y soluciono rápidamente mi asunto».

 

 

 

Ale mán
 

 

Tag der deutschen Kultur

 

Texto: María Carmen Antón, Klasse 5, A.

Wer hat um diese Jahreszeit nicht mal den Eindruck gehabt, dass die Zeit vergeht? Das Ende des Schuljahres ist schon in Sicht, und das Wetter kündigt schon den Sommer an. Also, es war schon so weit für unser deutsches Fest, daß inzwischen zu einer sehr beliebten Tradition in unserer Schule geworden ist. Das Fest wird von der Deutschabteilung organisiert und daran nehmen alle Schüler teil, die Zeit und Freude dafür gefunden haben und sich für die Deutsche Kultur interessieren.

Die Verantstaltungen haben schon am Vormittag angefangen, denn viele von unseren Schülern kommen jeden Tag morgens, und an dem besonderen Tag sollte das auch keine Ausnahme sein.

Irgendwie duftete es da in der Schule ganz anders als an den normalen Schultagen ... Und die neugierigen Schüler anderer Sprachen, die sich getraut haben, diesem verführerischen Duft zu folgen, haben es herausgefunden: Kaffee und eine breite Palette an deutchen Kuchensorten waren zu kosten und auch zu bewerten! Denn, wer die leckeren Delikatessen unserer Schüler probierte, sollte auch schriftlich angeben, welcher Kuchen ihm am besten geschmeckt hatte. Am Ende hat die Schülerin M.C. Albisu (1.B) den ersten Preis bekommen.

 

Außer dem gastronomischen Wettbewerb haben wir auch zwei sehr unterhaltsame Vorträge gehabt, und zwar von Ilka Seiler und Claudia Görres, und einem anderen von dem Schüler P. Sanz (4.A) mit dem Titel “Eine Reise durch das Rheintal”. Auch ein Schüler, A. Cañada (1.B), zusammen mit seiner Band, hat das Publikum mit seinem musikalischen Beitrag unterhalten.

Unter den Aktivitäten, die an dem Tag von den Schülern der verschiedenen Niveaus angeboten worden sind, ist unbedingt das Theaterstück der Klasse 5.B in Zusammenarbeit mit der Klasse 1.F hervorzuheben. Das traditionelle Märchen von den deutschen Brüdern Grimm, “Rotkäppchen”, wurde von den “Schauspielern” als Klassenarbeit an die modernen Zeiten angepasst.

 

So hat man am Ende zum Beispiel keinen Wolf, sondern einen bösen Pizzaboten, der der armen Oma das Geld klauen will. Der Beitrag der Erstklässler war ein lebendiger Wald. Trotz der Veränderungen, die die neue Version darstellte, war doch auf ein “happy” und lustiges Ende nicht zu verzichten. Und so haben alle Teilnehmer ein adaptiertes deutsches Lied zusammen gesungen.
Außerdem haben manche Schüler gesungen und kurze, aber auch interessante Vorträge gehalten. Ein besonderer Beitrag seits der Schüler in Zusammenarbeit mit den Lehrern war die Veröffentlichung der internen Zeitschrift “KLATSCH”, die jedes Jahr bei diesem Anlass verteilt wird.

 

 

Darüberhinaus hat man auch noch bei folgenden Veranstaltungen
-Spielen- Aktivitäten zuschauen oder mitmachen können: Darstellung einer Zeitung mit verschiedenen vereinfachten Artikeln auf Deutsch, (Klassen 2.C und 2.E), Kreutzworträtsel zum Selbstlösen (1.B), neue Versionen mancher traditionellen Märchen (2.A und 2.B)......

Bevor wir uns alle auf den Weg zum Restaurant gemacht haben, um ein gemeinsames Abendessen zu genießen, hat die Preisver- leihung stattgefunden, und zwar an die, die den Comic-, Aufsatz oder Quizwettbewerb gewonnen haben. Unter den Geschenken waren Bücher, Kassetten, CDs, Spiele und Videofilme. Dieses Jahr waren die Gewinner: L. Jiménez (1.B), I. Palacios (2.C), M. Cervera und I. Iturralde (4.C), M. Castillo (2.A), L. Huici (2.A) und L. San Juan (4.C). Unseren herzlichen Glückwunsch an sie.

So war unser besonderer Tag dieses Jahr. Wir hoffen, alle haben viel Spaß dabei gehabt und auch ein bisschen über die deutsche Kultur gelernt. Wir danken allen Schülern, die mitgemacht haben, und freuen uns schon auf das nächste Fest .