BECAS.
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.Art moderne et contemporain de la Côte D'Azur |
Texto: Sara Rubio Ibarzo |
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1 ÉRE OBJECTIVE: connaître l'art moderne et contemporain de la Côte D'Azur. La Côte d'Azur est connue par la luminosité et beauté de ses paysages. Elle a inspiré quelques uns des plus grands peintres impressionnistes comme Renoir, Monet ou Signac, des fauvistes comme Matisse et aussi des peintres modernes tels que Picasso, Léger, Braque ou Miró. Tous ont laissé leur marque dans près de 70 musées et 100 galeries d'art. Pendant mon séjour j'ai fait une route des musées de ces peintres qui ont été inspirés par la Côte d'Azur et ont y fait une partie de leur oeuvre pictorale: Á Antibes MUSÉE PICASSO: Dans ce musée j'ai contemplé plus de 260 oeuvres de Francis Picabia, Nicolas de Stal, Hans Hartung, Balthus et surtout de Picasso (quelques-unes de ses oeuvres les plus célébres: les Joies de vivre, Ulysse et les Sirénes, Femme dans un fauteuil). Saint-Paul-de-Vence: LA FONDATION MAEGHT: Le marchand de tableaux Aimé Maeght et sa femme Marguerite ont crée en 1964 la fondation Maeght, véritable refuge artistique des plus grands peintres et sculpteurs de l'art moderne. Dans un bâtiment rose et blanc, conéu par l'architecte catalan José-Luis Sert à l'écart du village, et auquel ont travaillé des artistes comme Miró et Chagall, j'ai découvert des oeuvres de Bonnard, Kandinsky, Chagall ou Braque ainsi que des sculptures et des mosaiques signées Giacometti, Arp, Calder ou Barbara Hepworth, dans ses superbes jardins. Á Nice MUSEE D'ART MODERNE
ET D'ART CONTEMPORAIN: Dans un ensemble de quatre tours revêtues de marbre
et reliées entre elles par des passerelles de verre, il rassemble
principalement des oeuvres du pop art et du nouveau réalisme, avec
des créations de Niki de Saint-Phalle, Jean Tinguely o Andy Warhol.
"L'Ecole de Nice" est également représentée avec Yves Klein,
César ou Arman. Á Menton MUSÉE COCTEAU: Jean Cocteau a choisi le Bastion, monument du XVIIe siécle, pour exposer ses oeuvres. L'artiste a décoré lui-méme le musée avec de multiples mosaïques. Bref, pendant mon séjour, j'ai decouvert la Côte d'Azur comme une destination culturelle d'exception associée à de nombreuses œuvres, et puisque les lieux d'inspiration sont indissociables de l'oeuvre des peintres, on pourrait dire que j'ai connu la Côte d'Azur á travers l'oeuvre d'artistes fortement attachés à cette région et qui ont trés bien compris le génie de la Riviera Franéaise. 2 IÉME OBJECTIVE: La recherche des particularismes de l'identité nicois. Nice est le chef-lieu
du département des Alpes-Maritimes et capitale de la Câte
d'Azur. Elle est célébre pour son tourisme, la douceur de
son climat et la luminosité de ses plages, mais surtout pour ses
casinos, ses palais, ses nombreux hâtels de luxe et sa vie élégante
et mondaine. Par rapport aux traditions niéoises, pendant mon séjour j'ai pris part de la Féte traditionnelle de la Sainte Pierre (patronne des pécheurs), et des Festins traditionnels Niéois. Á ce moment-lá j'ai écouté la musique traditionnelle niéoise car groupes folkloriques ont joué leurs chansons traditionnelles avec des instruments typiques dont la jourgina, le fifre, la mandoline, le violon, le cornet àpiston, la vielleà roue, le tambour, la grosse caisse, le petadou et le rommelpot. En plus, les authoctones ont montré plusieurs danses traditionnelles niéoises, qui sont danses communautaires en chaîne comme la farandole, le brandi, la mourisca, ou les passa cariera (passe-rue). Par rapport àla gastronomie
et cuisine néoise, j'ai goété quelques recettes typiques
telles que les beignets de fleurs de courgettes, la pichade, la pissaladiére,
le pan-bagnat, la socca, la soupe au pistou, la tourte de blettes, le
stockfish, la salade niéoise, la porchetta et les panisses. B) j'ai connu le patrimoine historique, culturel, culinaire et artistique Niéois. |
BECAS.
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.Más que un curso de inglés... |
Texto: Amaya Indave Navarlaz |
Durante esta estancia en la capital británica he podido poner en práctica las habilidades lingüísticas adquiridas durante el año lectivo en la Escuela de Idiomas |
En este curso que he realizado en Londres se respiraba un ambiente relajado; se notaba que los alumnos estábamos de vacaciones porque las clases de la Central School of English eran distendidas y eso favorecía la relación entre los compañeros. Sin embargo, no por eso los profesores descuidaban la enseñanza exhaustiva del idioma, haciéndonos las correcciones gramaticales pertinentes cuando era necesario y subrayando la correcta dicción de las palabras. De hecho, durante esta estancia en la capital británica he podido poner en práctica las habilidades lingüísticas adquiridas durante el año lectivo en la Escuela de Idiomas, ya sea en el momento de desarrollar un ejercicio en clase, ya sea a la hora de desenvolverme en el día a día londinense. Las instalaciones de la academia eran modernas y completas; la residencia en la que pasé estas dos semanas "International Students House" también era acogedora y ofrecía servicios complementarios muy útiles a sus huéspedes, como un cibercafé u orientación turística. Analizando este curso en la distancia, creo que quizá habría sido interesante haber tenido más horas lectivas a la semana "una elección posible en esta misma academia2, especialmente una clase de fonética inglesa, que en mi opinión es uno de los puntos débiles de la mayoría de los hispanohablantes que quieren aprender inglés. La convivencia, tanto en las clases como en la residencia, sirvió para que me esforzase en entender el inglés hablado por personas de distintas nacionalidades. Así, de llegar a Londres con el oído acostumbrado a escuchar hablar inglés casi únicamente a estudiantes hispanohablantes, me he habituado a practicar este idioma con personas de diferentes acentos, además de "lo que es importantísimo" con los propios nativos y aprender así de ellos. Un animado desayuno en la residencia londinense. Por otra parte, esta estancia en Londres me ha brindado la oportunidad de profundizar acerca de la historia de los refugiados que llegaron a Inglaterra tras la Guerra Civil española, que fue el tema del trabajo gracias al cual obtuve esta beca. De este modo, tuve el privilegio de entrevistar a Herminio Martínez, un niño de la guerra de 76 años que vive en Inglaterra desde hace casi 70, cuando tuvo que abandonar Bilbao en un barco, junto a otros casi 4.000 pequeños, huyendo de los horrores de la Guerra Civil. Guiada por Herminio pude conocer algunos rincones poco turísticos pero no menos encantadores de la ciudad y recibir con el relato de sus vivencias una impagable lección de historia y de vida. |